La période 1900-2000 a vu le
capitalisme se développer dans sa version libérale et mondialisée. Ce
modèle a connu une expansion importante, appuyé sur une
volonté conquérante ; son objectif est en effet de se généraliser
jusqu'à devenir la norme sur toute la planète. Pour autant, nous
constatons depuis quelques décennies que ce système souffre
de contradictions qui se font jour de plus en plus bruyamment.
Ainsi, le capitalisme propose aujourd’hui deux cadre qui semblent
s’opposer : le cadre mondialisé et le cadre national. En
effet, face aux concurrences engendrés par la mondialisation,
certaines franges des partisans du capitalisme tentent de résister aux
processus en défendant la nation et l’Etat comme cadre
économique ( on retrouve cela tant dans l’extrême droite
nationaliste que dans une partie de la gauche institutionnelle ; les
organisations régionalistes indépendantistes défendent la même
chose à une autre échelle).
Rédigé par denge -
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Malgré les sophismes entretenus par les proprietariens (qui se nomment « libertariens ») pour faire confondre un cercle avec un triangle (nota 1), ceux-ci sont tous des libéraux individualistes (nota 2), hiérarchistes, capitalistes et étatistes, et donc logiquement nationalistes, voire pro-dictatoriaux...
Rédigé par denge -
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Une théorie, localisée essentiellement aux États-Unis ou dans des pays
anglo-saxons, avec des termes tels que "libertarien" (venant de
libertaire) ou "anarcho" associés au terme "capitaliste", se diffuse à
travers Internet. Une telle expropriation des termes anarchistes /
libertaires par des hiérarchistes peut surprendre, au vu des
incompatibilités évidentes entre ces termes, mais du fait de la
récurrence de ces expressions sur le net un article succinct résumant
ces "théories" semble nécessaire, pour clarifier ce qu’est cette
manipulation.
Il existe aux États-unis de nombreux mouvements/individus radicaux,
sortis de milieux universitaires, et s'attribuant le qualificatif
"anarchiste".
Certains défendent des idées contraire aux fondements de
l'anarchisme, mais s'attribuent malgré tout le terme, au mépris de leur
propre crédibilité. La sophistique permet à de nombreux intellectuels de
s'approprier quelques concepts liés (mais pas seulement) aux
anarchistes, tout en rejetant le reste qui fait pourtant la cohérence de
la philosophie anarchiste, et s'auto-proclamant malgré tout anarchiste
du fait de ces quelques concepts appropriés. Cependant, malgré toute la
sophistique employé pour masquer la réalité des propositions de ces
intellectuels, il est possible de mettre à nu leurs théories, et de
poser clairement les moyens et l'avenir proposé par ceux ci.
Rédigé par denge -
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Critique du texte de Faun nommé "les racines bourgeoises de l'anarchosyndicalisme".
Je
ne défend pas ici l'anarcho-syndicalisme (ce n'est qu'un mot, et
n'importe quel mouvement peut s'y référer sans que la pratique ne soit en lien avec l'idée anarchiste et syndicaliste), je prend cette attaque de
faun uniquement contre les idées sociales de l'anarchisme (dont
l'anarcho-syndicalisme) par une personne non anarchiste.
Rédigé par denge -
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Le parasitisme est un thème vaste, aussi bien non humain qu'humain,
biologique, social, économique, politique... ce site va tenter d'avoir
une approche globale du parasitisme existant dans l'espèce humaine...
l'humanité est traversé par des tendances biologique, social,
économique, politique pouvant tendre vers le parasitisme, mais pas
seulement, elle peut tendre vers le prédatisme, le commensalisme, le
mutualisme ou le symbiotisme... notre systéme prédominant actuellement,
et la société, tend vers le parasitisme, mais use parfois de la
prédation, du commensalisme... bien qu'il sera question, le centre
d'attention sera le parasitisme.
L'anarchisme [1] est une philosophie qui appelle à la réalisation (par la lutte anti-autoritaire et l'association) d'une société libertaire et égalitaire, et qui prône l'abolition de l'institution de la hiérarchie et de l'autorité.